De tout et de rien

je n'avais déjà pas l'intention de me vacciner...

Je pense que c'est fort possible tout ça ! On a déjà vu pire...

Mouais... Ce que je vais dire n'engage que le petit citoyen que je suis.

1) De toute façon, je n'avais pas l'intention de me faire vacciner, ni mes proches.

2) Je me méfie toujours de toutes les émissions de ce type, surtout montées sur le net.

3) Je pense que c'est plutôt une bonne chose (pour les gens bien portant) de chopper la grippe maintenant, question d'immunisation...

4) A mon avis, le gouvernement s'est effectivement jeté sur ce vaccin. Cela ne signifie pas qu'il soit "mauvais"... Certains vaccins "correctement" dévelopés ont été soupconnés de donner la sclérose en plaque. Après, est-ce qu'un lobby pharmaceutique est derrière cela????

c'est pas de l'uranium qu'ils disent mais du mercure..


Wow ! du mercure !

Ben oui, c'est ce que j'ai dit !

Mais je ne t'ai pas contredit !

Toujours pareil: Ok, du mercure...
Mais dans quelles prportions??? J'ai passé mon enfance badigeonné de mercurochrome, et je ne pisse pas du métal en fusion

pour le mercure le mieux c'est de chercher des infos sur un joli petit village de pêcheurs au Japon... Si tu le trouves (ce qui devrait être facile) tu verras des photos qui te parleront...

Je sais tout cela, je me fais l'avocat du diable, j'aime bien...

tout à l'heure je vais chez le médecin. J'arrive sur le palier et sonne avant d'entrer. La salle d'attente. Bondée. plus un siège disponible. Comme j'ai rendez-vous 10mnplus tard je m'inquiète peu. Mais ça tousse, bave, gémit dans tous les coins. Je suis debout adossé à un mur et je joue avec ma DS pour patienter. Une personne âgée entre. Des personnes se proposent pour lui laisser leur place. Elle répond que quelqu'un finira bien par libérer un siège... Quelques instant plus tard mon médecin ouvre sa porte et demande qui est son rendez-vous de 15h45. "C'est moi" dis-je. Je crois avoir aperçu une déception dans le regard de la personne âgée qui venait d'entrer : je n'avais libéré comme place qu'un pan de mur ! Alors je m'en excuse auprès d'elle et du coup la médecin décide de lui prêter une chaise de son cabinet.

Un sentier ondoyant aux ornières profondes longe la forêt. Bordé de fougères et ombré de sapins il sépare deux univers. Le soleil fait craqueler la terre et évapore quelques flaques éparses. Pas un vent. Peu de bruits. Quelques papillons blancs volent en silence d'un infini à un néant. Une odeur chaude de résine emplit ses narines. La lumière intense de l'orée obscurcit les sous-bois. Sur une pierre kilométrique plantée il est assis. Immobile. Chaussures de randonée fermement lacées. Jean bleu si délavé qu'il en deviendrait idéal. Un ceinturon de cuir noir déjà bien usé. Sous une veste aux poches surnuméraires une chemise entrouverte sur un poitrail glabre. Il est mal rasé. Barbe foncée. Un visage anguleux aux yeux plissés. Un regard aux yeux sombres et si peu visibles. Quelques cheveux légèrement hirsutes. Les lèvres closes ne dévoilent pas son souffle. Pas un son pas un geste. Comme un tableau où je passerais. J'avance vers cette statue vivante. Arrêt. Je baisse mon regard et lui demande : "qu'est-ce que la puissance ?". Silence. Puis à peine soufflé me parvient sa réponse : "rester assis au bord du chemin et n'attendre personne". il se lève alors. Je le regarde immobile à mon tour qui s'éloigne vers le flou de l'horizon. Une nappe de poussière efface le peu de traces qu'il aurait pu laisser. Le silence. Une abeille vrombissante surprend mon ouïe. Alors je m'assois sur cette pierre. En silence. Le regard dans un lointain qui n'existe pas... à n'attendre personne...

Je manque d'inspiration... J'attendrai le retour de ma muse...

Et bien, je suis curieuse de te voir à l'oeuvre quand tu es inspiré!!!^^
Je trouve cette courte histoire absolument géniale...
A garder et à inclure peut-être dans une série de contes ou de nouvelles ou l'entrée en matière d'un roman... je ne sais pas, n'importe en fait... mais la garder pour l'inclure quelque part et la faire partager...



Qu'entends-tu dans le silence...

Un soir de solitude, un soir triste, un soir de pluie, je rentrais chez moi et me garant à ma place de parking habituelle je regardais la fenêtre éteinte de ma cuisine située au 7ème. Le 7ème ciel n'est pas à cet endroit... il ne s'y trouve ni paradis, ni joie, ni plaisir.
Je n'arrive pas à me résoudre à éteindre le moteur de ma voiture pour rentrer chez moi. Je reste quelques minutes assise derrière mon volant à écouter la pluie tomber sur le pare-brise, l'esprit ailleurs, le regard dans le vague fixé sur cette fenêtre.
Je desserre le frein à main et reprends la route. N'importe quelle direction pourvu qu'elle soit à l'opposé de ce 7ème d'enfer.
L'averse se fait de plus en plus intense, la nuit de plus en plus sombre, la route de plus en plus noire... Le claquement de la pluie sur la tôle est assourdissant. Je ne vois presque plus la route mais j'accélère encore.
Un chevreuil surgit alors de nulle part. J'ai juste le temps de voir ses yeux... Ses yeux qui percent mon regard et brulent mon esprit où retentit, comme un écho, cette phrase qui semblant venir d'outre tombe rebondit à chaque mot et siffle dans mes oreilles se répétant sans fin : Qu'entends-tu dans le silence ?
Puis la phrase s'estompe pour ne devenir qu'un murmure et s'éteindre finalement, laissant planer derrière elle comme une brume de sons indistincts.Parfait.
Je sens la pluie sur mon visage mais je ne l'entends plus.
Doucement j'ouvre les yeux.
Doucement je tourne la tête vers la droite et j'aperçois une voiture renversée de l'autre coté de la route.
Doucement je tourne la tête vers la gauche et là je distingue une lueur au milieu des arbres. Elle a la forme d'un chevreuil mais je ne vois pas son regard.
Doucement je referme mes yeux et j'entends alors, dans ce silence si limpide, j'entends mon coeur qui pleure.

Atteindre le 7° ciel à deux... ça n'en fait que 3,5 chacun...

La fin du monde. Oui mais à quelle heure ?
Un escargot... on peut l'affréter ?
Si je vais à confesse est-que je cucurbitacé ?
L'un dans l'autre. Oui mais jusqu'où ?
Dans une relation superficielle y a-t-il pénétration ?
Sucer c'est laver ?
On a inventé la boîte avant l'ouvre boîte vous croyez ? Après tout on avait inventé la poitrine avant le soutien gorge...
Parfois je m'aventure sur un terrain glissant.. Mais j'utilise quand même du lubrifiant !


J'ai vraiment des problèmes existentiels !

Le silence. Parfois qualifié d'assourdissant. Joli oxymore !
Le silence... Cest ce qui reste quand j'arrête de penser.
Le silence... C'est un mot qui n'a pas encore été dit. Une blessure encore inexpliquée. Une sorte d'anti paradigme latent.

Le silence...C'est le cri du néant !

La biche. Comme le lièvre elle fut parfois qualifiée de diabolique... Comme ces animaux qui donnent toujours l'impression de nous regarder où qu'on soit...

Une histoire bien triste Anne ! Mais en jumelant avec ton clip du moment on pourrait se poser la question : qu'est-ce que le bonheur ? Ou pire encore : qui est ce bonheur ?

Petit exercice à rendre fou : la recherche de la conscience du soi... Immobile et muet. Chercher par la pensée à retrouver chaque partie de son corps... Ephémère certitude d'avoir réussi qui disparait quand on comprend que la sensation n'était qu'un engourdissement.

Mais à quoi je pense en rentrant chez moi !!!!


Voyage de retour. Voyage de sommeils interrompus. Les cris, la foule, la chaleur, l'ennui... ne m'atteignent plus. Esprit focalisé sur un sourire lointain. Avoué dans une phrase laconique et pourtant contente comme à regret. Un étalon sans plaine. un violon pour manchot... un film muet pour aveugles... un instant pour une éternité... Un univers en un point ! Et toujours la vie qui m'accompagne...

Comment résumer l'infini ? En un mot : toi.

Y aurait-il erreur sur la date? Serions-nous jeudi? Je dis....

Comment parler de rien alors que tant des choses nous arrivent? Les couleurs, les sons, les goûts, les odeurs et des contacts plus ou moins volontaires. Plus ou moins volontiers. Ces parfums qui enivrent et nous soulent, ces visions qui émeuvent, ce toucher si doux et ces mots susurrés. Et le voisin du dessus qui démarre sa perceuse, un dimanche ordinaire en somme. Et quand je dis en somme ça n'implique pas une sieste! Alors que dire qui ne dérange ni ne peine? Parler des ces gens tristes aux regards courroucés qui roucoulent autant qu'un pigeon constipé évite à son étron d'abîmer un Rodin? Parler de ces femmes si raides qu'on s'use à les monter et de bien des abrutis qu'on souhaiterait descendre? Non, la facilité me guetterait. Fi des badinages et autres billevesées. A moi le secours des grand maux, le recours aux grands mots, les pâtes aux grumeaux! Car enfin qu'en est-il des rodomontades de céans? Du résidu d'Eole? Tous ces mots qui s'envolent et n'atteindront aucun cieux, des rêves perdus aussitôt espérés. Des envies inassouvies sans personne à qui les narrer. Un corps creux, vide, malade et agissant sans penser. Il ne sera pas dit que l'inéluctable s'est produit! Dans mon univers tout peut arriver et arrivera! La terre peut tourner autour de la lune et le cassoulet ne pas faire péter! (même si les filles croient encore nous leurrer sur ce sujet olfactif parfois autant qu'odorant!) A l'impossible nul n'est tenu nous explique la sagesse populaire... Je dis trop sage pour être honnête!!! Allons! Des telles pensées nous limitent et découragent. L'impossible est un but, un idéal!!! Il faut voir grand! Il faut voir loin! (même avec des lunettes!) Avancer à grands pas vers un avenir dont les liens avec le passé seront si ténus que tous les champs du possible resteront à arpenter... La liberté totale (ou Esso, je n'ai pas de préférence. De toutes façons je n'ai pas de voiture!) de créer le monde entier à chaque instant. Et si Chuck Norris n'existait pas. L'avez-vous déjà croisé? Qui peut m'assurer que ce n'est pas un personnage artificiel créé par l'industrie du cinéma en image de synthèse et sans rapport avec la réalité? Une sorte de "Simone" au féminin! Alors si la semaine des quatre jeudi commençait un mardi, irait-on travailler le dimanche? Si la semaine de 35 heures était réduite de moitié, les fins de mois auraient-elles lieu tous les quinze jours? Si ma tante en navet, mon oncle en carotte? Si je prends la pilule verte que devient la rouge? Si le lapin court, est-ce que le sanglot long? Vous n'avez pas la réponse et moi non plus... Vivons dans cette ignorance qui nous renforce et nous unit. La science et une illusion! La somme des inconnues est-elle plutôt la résultante des désespoirs? Qui différencie l'envie du désir pour orienter vers l'enfer ou le paradis?
Non, je ne tomberai pas dans l'usuel et le mesquin (même sans frontière!). Mais ce qu'un s'affronte hier... L'autre en fait quoi demain? Il était tard pour la grenouille et tôt qui ôte elle... Mais j'avoue ne pas être versé dans les arcanes de la langue de Goethe. Alors ainsi je déverse mes mots sans continuité apparente sur vos pages comme un tsunami de mots mêlés et dérangeants. Ils se bousculent et paraissent sombrer dans un flot de couleurs. Du blanc sur un fond noir comme de la neige sut un bitume... Une virginité temporaire qui ne dure que tant qu'aucun pied ne l'a foulé. Ma prose est-elle du même acabit? Usée dès la première lecture? Les yeux la polluent-elle? Si je me relis est-ce que les mots vont changer? Bouger et fuir pour échapper à mon regard dans le bas de la page? Se rangeant sans effort en des phrases illusoires? J'ai pris la plus belle plume à un ara qui rit. Le suicide à tire d'ailes. Un poisson genevois, un suisse ide. Une canette couteau se promène sans but, une bouteille à lame erre. Quel message laisser sur votre forum si bien rangé? Une histoire, un billet d'humeur, un désir, un fantasme, une réalité, un espoir, une sensation diffuse? Je n'ai pas encore tranché. Quels courroux vais-je m'attirer? Le bateau reste-t-il quand il en a marre? Quand on tourne le dos au soleil en est-on pour ça plus fort en ombre? Si je paye ma carte orange avec ma carte bleue va-t-elle tirer vers le vert? Peut-on s'asseoir à deux sur un banc de poisson? Et si un seul se relève l'autre va-t-il tomber? Un ver peut-il tirer la couverture à soie? Spiderman a-t-il souvent envie de tisser? Le Fanta en bâton est-il fantastique? Les confettis sont-ils les descendants de graffitis pas très intelligents? Le temps s'écoule-t-il plus vite lorsqu'on regarde notre montre? Si le ciel est bleu, est-ce parce qu'il s'est cogné? Et si c'est le cas, où est son genou?
Oui, mon ignorance est grande et mes envies de savoir inassouvies. Mais je ne désespère pas d'en savoir un jour suffisamment pour pourvoir partager. Alors je saurai peut-être que vous écrire. Donner un sens à cette logorrhée embrouillée et soporifique. Une idée jaillira et se dévoilera à vous, lecteurs (cousins d'Hannibal?), qui patients depuis bien des lignes et plus de mots encore suivez le non fil de mes pensées brouillonnes. Acarien dire à personne disait un pou... Quel égoïsme! C'est bien de leur style à ces capilloscotchés de sortir de telles inepties. La société se base sur l'échange, à titre gracieux ou non, d'informations et de biens... et de maux. De ce fait l'égoïsme est asocial. Le pou dingue n'est pas du gâteau! Donner une claque à son idée c'est pas de la tarte non plus! Alors je continue à vous emmener sur la vague de mes mots sibyllins et nonobstant si familiers (ils me tutoient parfois!). Et nous errons, errons, peu type hâte à pont (là j'exagère, je sais) Mais que dire, mais que faire? Mais comment ça tient en l'air? Nous arrivons à cette blancheur immaculée, digne d'un Breton (pas l'indigène, l'auteur!)ou d'un Tzara que les descriptions n'ont pas encore bariolé de limites et de sons. J'entends encore des couleurs qui se mêlent et s'entrecroisent sur le tapis du temps. Un juron au goût de sel corrode ma langue métallique et lourde pendant qu'un barbu liquoreux exhale sa langueur dans un pet tonitruant! L'avenir, c'est quand même mieux demain! Et la barque de ma prose avance encore... Un félin bleu se dresse sur un monticule (comment veux-tu...?) et nous regarde passer. Nous fuyons à rebours (c'est où déjà?) et arrivons devant la demeure lisse et sombre des pensées perdues. Là elles ont terminé leur voyage. Il y en a qui furent miennes autant qu'elles furent vôtres. Des idées sans lendemain. Des pensées fugaces. Peut-être y retrouverais-je la raison de ma manie épistolaire. Il me faut fouiller et regarder de près toutes celles que je croise. De la plus naïve à la plus sophistiqué. De celle qui n'avait pas d'avenir à celle qui nous a manqué toute une vie durant (ou Dupont, c'est comme vous voulez).Qui sait si mon espoir ne sera pas vain (ou trente même! Soyons conciliants). Je cherche, fouille, retourne, casse, défroisse, déplie, déchire, rejette, amoncelant autour de moi ces idées et ces pensées... Vous me regardez passivement, espérant une trouvaille qui mettrait fin à votre calvaire (on crâne moins!). Mais vous ne pouvez m'aider... L'écriture est un dictat! Le lecteur un esclave du temps et de la vitesse... Encore des idées miennes qui s'égarent autant que moi... Je passe tout en revue... Tout passe dans le filtre de mon esprit... Et quand je crois toucher au but c'est l'esquive ou la sensation de n'être pas tout à fait ça... Je la trouverai, j'en suis certain je l'espère. Le nombre est grand et je les lis en cascade... Ca donne des : Si j'offre un pastis à un schtroumpf il deviendra vert, si je marche sur les mains je peux dire que je vole sur les pieds, le tout est le contenant du rien et réciproquement, l'infini devrait être étudié par les condamnés qui ont pris perpète, le cheval est la plus belle conquête de l'homme sauf s'il couche avec, le chien est le plus fidèle ami de l'homme mais je n'ai aucun pote qui bouffe mes patins, le café moulu doit être très fatigué, Jésus il n'a jamais fêté Noël, monsieur Morse a du mourir puceau car il avait point tiré, Edison drinngggg, si on utilise un gant de toilette c'est pour se laver habillé, les aveugles au moins ils ne voient pas défiler leur vie quand ils croient qu'ils vont mourir, un légionnaire il ne peut pas jouer à saute mouton, depuis le temps que la navette elle fait des aller/retours la NASA n'a pas encore fini de pull, moi quand je serai grand je serai pompier ou vétérinaire mais je ne veux pas faire de bouche à bouche à un chien... Ca donne le vertige!!!
J'ai une angoisse mais je suis opiniâtre alors j'insiste... Quelque chose se dessine, je reconnais les tons, la saveur... Serait-ce une information capitale que je voulais partager? Un danger dont je voudrais vous alerter? Oui et non... je pense avoir trouvé... OUI!!! C'est bon! J'ai enfin retrouvé la teneur de mon message. Une info vitale!!! Je vous la transmets tout de suite : la pharmacie Lopez sera de permanence à Santiago du Chili!

Aller, je fais court pour pouvoir me reposer au plus vite... Pas très inspiré ce soir après mes déboires avec les transports en commun et des heures sup en plus... Il y a des jours avec et des jours sans... (et des jours sang pour les vampires) Je laisse le suivant me battre à plates coutures. En d'autres temps, d'autres heures j'aurais sans mal blanchi bien d'autres pages mais ces heures ne sont plus miennes et déjà mes yeux se ferment, mon souffle se ralentit, je sens le froid qui m'entoure et m'étreint. Non, aujourd'hui si vous avez besoin d'aspirine ce ne sera pas la longueur mais la substance qui vous aura nui. Je ne vous ai pas tout dit même sur autant de rien mais vous n'êtes pas à l'abri, à l'avenir, d'un sursaut gratuit qui vous exaspérera ou vous fera sourire. Allez rêver heureux et sereins, vos songes vous espèrent. La bienveillante torpeur vous guette au coin de l'œil, fermez le elle vous prend et vous embrasse. Demain vous saurez avoir rêvé et l'avenir apparaîtra clément et prodigieux pour vos esprits assainis par la nuit magnifique!

jefraya a écrit:

pour le mercure le mieux c'est de chercher des infos sur un joli petit village de pêcheurs au Japon... Si tu le trouves (ce qui devrait être facile) tu verras des photos qui te parleront...

c'était du cadmium.

dunkelzahn a écrit:

Toujours pareil: Ok, du mercure...
Mais dans quelles prportions??? J'ai passé mon enfance badigeonné de mercurochrome, et je ne pisse pas du métal en fusion

il n'y a jamais eu de mercure dans le mercurochrome.

jefraya a écrit:

tout à l'heure je vais chez le médecin. J'arrive sur le palier et sonne avant d'entrer. La salle d'attente. Bondée. plus un siège disponible. Comme j'ai rendez-vous 10mnplus tard je m'inquiète peu. Mais ça tousse, bave, gémit dans tous les coins. Je suis debout adossé à un mur et je joue avec ma DS pour patienter. Une personne âgée entre. Des personnes se proposent pour lui laisser leur place. Elle répond que quelqu'un finira bien par libérer un siège... Quelques instant plus tard mon médecin ouvre sa porte et demande qui est son rendez-vous de 15h45. "C'est moi" dis-je. Je crois avoir aperçu une déception dans le regard de la personne âgée qui venait d'entrer : je n'avais libéré comme place qu'un pan de mur ! Alors je m'en excuse auprès d'elle et du coup la médecin décide de lui prêter une chaise de son cabinet.

bien fait, font chier les vieux. m'enfin, ils me font vivre ...

lepapa a écrit:

[quote= il n'y a jamais eu de mercure dans le mercurochrome.

wikipédia: Sel disodique de l'acide dibromo-2,7 hydroxy-3(hydroxymercuri-4 oxo-6 xanthényl-9)-2 benzoïque

Chui pas chimiste, mais "mercuri" ne renvoie pas au mercure???

je parle de mercure "élément", ici c'est un sel complexé. l'eventuelle toxicité n'a absolument rien à voir.

Tout à fait^^

C'est ce que je voulais dire par "ça dépend de la quantité"...

moi c'est dingue le nombre de fois où je me fâche parce que je découvre du plomb un peu partout au boulot ! ça m'énerve !

Dans les batiments??

bah oui... Bon, OK, le plomb a l'avantage d'arrêter les radiations... Mais en dehors de cette utilisation il y en a partout qui traîne. Et ça me gonfle. Surtout compte tenu de mes prérogatives ! Du coup je me fâche avec plein de monde... Mais bon je préfère voir mes collègues en colère qu'à l'hôpital !

bonjour tout le monde.
Gag du matin :
Hier soir je raccorde ma DS à son chargeur afin de pouvoir l'utiliser comme tous les jours dans les transports... Ce matin je m'assois, je l'allume et paf ! Voyant rouge !
Note perso pour demain : ne pas oublier de brancher le chargeur sur le 220V !